310 – Attention, il est fêlé

Publié le par Petitalan

 A propos du poème de M. Sully-Prudhomme,

« Le vase […] n’y touchez pas, etc. » préconisa-t-il

 

 

Pour ta recommandation, désolé et tant pis cher Sully,

Ce serait briser mon cœur de n’y pas toucher

Ce pot tentant pour potentat je vais de ce pas * le tâter

Aussi m’efforcerai-je de ne pas le briser

Et je m’engage en cas de bris, mon bon ami,

À filer réparer les dégâts chez Speedy.

 

* et de cette main, pour l’exercice plus appropriée…

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
C
puisse tu de par ta tentativene pas recevoir une baffe incisive
Répondre
P
<br /> J'ai le bras long, fort heureusement.<br /> <br /> <br />
T
en fait de réparation , je crois que tu viens de jouer les speedy , à moins que ce ne soit pas celle du canoé !
Répondre
P
<br /> D'accord, ça nous éloigne considérablement de Proust et Claudel. Mes p'tits moyens...<br /> <br /> <br />
L
Fi ! Un facheux penchant pour les fesses....
Répondre
P
<br /> Pas du tout, je ne suis pas passé par les enfants de croupe ; hasard de la "production.<br /> Et Henri IV, un de tes pays (ou presque ?) Paris pour une fesse, hein !<br /> Bien à toi.<br /> <br /> <br />